Echos Judiciaires Girondins : Pouvez-vous nous donner quelques clés de votre parcours fulgurant ?
Florian Bourdot : « Je suis simplement un Bordelais qui a vécu un peu à La Rochelle et aux États-Unis, passionné de musique grâce à mon père, animateur de radio avec lequel j’écoutais l’électro chic de l’Hôtel Costes ! J’ai été viré de Kedge et je suis entré à l’ISEG qui est devenu mon cocon créatif. C’est en effet grâce au Bureau des Élèves (BDE) que j’ai eu le déclic de l’événementiel. »
EJG : Comment vous est venue l’idée de « Bordeaux Open Air » ?
F.B : « En 2014, j’ai découvert les « Goûters Électroniques » à Nantes où des petits concerts étaient organisés en plein air les dimanches après-midi. J’ai pris une claque et je me suis dit que j’allais le faire à Bordeaux, ma ville. J’avais suffisamment appris des choses théoriques, il fallait que je les mette en pratique. Et puis j’ai vu là la force concrète et fédératrice de la musique qui peut rassembler des personnes de toutes conditions sociales, de tous âges. J’ai fait le tour de toutes mes connaissances dans la musique, poussé les portes de la mairie qui a aussi eu la volonté d’animer les étés…