La dernière fois que nous l’avions rencontré, en ce début d’année 2025, il s’était montré à la fois fataliste et déterminé à combattre le cancer qui le rongeait et qui finalement l’a emporté le 19 juillet dernier. Dans un sourire, il se souvenait d’avoir été traité « d’épicier » (lui qui n’était pas du sérail bordelais) lorsqu’il débarqua à Saint-Émilion dans les années quatre-vingt-dix pour racheter plusieurs châteaux.
Travail à la dure
Né le 2 octobre 1949 à Ménilmontant dans une famille de neuf enfants avec un père peintre en bâtiment et une mère au foyer…