Echos Judiciaires Girondins : Vous êtes toujours autant investi dans l’organisation de ce salon…
Philippe Etchebest : « C’est important car ça raconte une histoire, mon histoire et celle de mon papa. L’histoire continue à travers moi puisque je reprends la présidence du concours alors que la première fois que j’y ai participé, c’était dans les années 80, j’étais commis, puis j’ai fait le concours moi-même.
Au-delà de ça, ça permet de faire parler de notre région, de notre savoir-faire qui est ancré et qui est important. »
Je pourrais aller ailleurs mais si je suis à Bordeaux, c’est parce que j’aime être là
EJG : Vous essayez d’exporter et de promouvoir l’image girondine et plus largement de Nouvelle-Aquitaine ?
Philippe Etchebest : « En tout cas, je parle beaucoup de ma région et de ma ville dont je suis très fier. Aujourd’hui si je suis à Bordeaux, c’est parce que j’aime être là, je pourrais aller ailleurs mais c’est ici que je suis bien et que je veux faire perdurer cette histoire personnelle.
EJG : Où en est votre projet d’ouverture d’un restaurant aux Chartrons ?
Philippe Etchebest : « Je reviens du chantier, il y a encore un peu de travail, il va falloir bosser, mais ça va être bien. J’espère ouvrir d’ici la fin de l’année. C’est difficile de se projeter…