« Nous avons des avantages compétitifs pour recevoir une paire d’EPR2 sur le site du Blayais », affirmait le 6 septembre Alain Rousset. Le président du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine réunissait à l’Hôtel de Région l’ensemble des acteurs économiques et institutionnels mobilisés en faveur de l’installation de réacteurs nucléaires de nouvelle génération en Gironde, afin d’alimenter en électricité décarbonée, à un prix maîtrisé, l’ensemble de la région. « Un des critères de sélection sera la mobilisation des territoires, qui démontre leur acceptation », a en effet précisé Lydia Hérault, conseillère régionale, présidente de la Communauté de communes de l’Estuaire, et nouvelle présidente du comité de suivi de l’EPR2 du Blayais, lancé il y a 2 ans à l’initiative d’Alain Desgranges.
« Nous avons travaillé pour que le site soit étudié, en montrant nos atouts : disponibilité du foncier, source de refroidissement, compétences et formation, etc., ainsi que la forte mobilisation des élus », a-t-elle poursuivi…