Rouge est la première Street artiste en résidence de création à investir l’Institut Bernard Magrez. Elle qui a débuté par des collages et fresques dans l’espace public s’est adaptée à la galerie de l’Institut : « Ce lieu se prête davantage à une exposition traditionnelle », commente-t-elle. « Une démarche classique par rapport à mon travail habituel fait d’installations. » Ici, la première salle illustre le titre de l’exposition La nuit n’en finit plus, une chansonde Pétula Clark de 1963 et reprend des paroles : C’est triste à pleurer ou encore Malgré le vide. « Une litanie…
L’institut Bernard Magrez voit Rouge
Draps froissés, plantes luxuriantes et regards hagards. La nouvelle exposition à l’Institut Bernard Magrez a laissé carte blanche à l’artiste
de Street art Rouge. Intitulée « La nuit n’en finit plus » elle revient à l’aide de grandes toiles sur l’espace intime où des moments de solitude, moments suspendus jouxtent une profusion matérielle.
