On dit souvent « Un mal pour un bien ». Ce proverbe illustre bien le parcours d’Angélique Gascoin. Lorsque, à tout juste 25 ans, son employeur lui met la pression pour partir à Paris, elle refuse et décide de lancer sa propre affaire ; c’est le début de l’aventure L’Onglerie.
SOIF D’APPRENDRE
« L’école, ce n’était pas trop mon truc », confie-t-elle. Mais elle a la bosse des maths et aime apprendre. Son bac en poche, cette Nantaise trouve son premier job à 18 ans, chez Rexel (qui vend du matériel électrique NDLR). La voilà à l’accueil : « Et j’ai monté les étages en même temps que j’ai gravi les échelons », s’amuse-t-elle. Elle finit par gérer tous les budgets marketing de l’ouest de la France : « Soif d’apprendre. Nouveaux challenges. Ça a…