Challenges, rebonds, défis… La vie de Dominique Broustau est loin d’être un long fleuve tranquille. Et après 35 ans de vie professionnelle tourbillonnante, il n’est toujours pas prêt à se reposer sur ses lauriers. « Il faut que je me lance, que je prenne des risques », assure t-il. En 1990, seulement âgé de 26 ans, il crée Euridis avec son associé « qui est encore un ami », précise-t-il. L’entreprise, qui comporte deux structures à Paris, est chargée de recrutement des forces commerciales dans l’informatique, et l’autre de la formation de chargés d’affaires et d’ingénieurs commerciaux dans l’informatique : « on peut communiquer avec les informaticiens sans l’être », s’amuse-t-il. « J’avais besoin de créer mon parcours en conservant ma liberté. » Il aime cet écosystème dans lequel il se retrouve « complètement ! ». En 1998, il obtient l’homologation du titre par l’État « le Graal et paradoxalement le début de la fin », s’étonne-t-il encore aujourd’hui, « Je suis un entrepreneur, un créateur mais pas un business développeur », car il n’aime rien moins que relever des challenges.
De retour à Bordeaux, il a envie de participer à l’aventure…