LinkedIn (2003) et Facebook (2004) bouleversent les champs de la communication. Les réseaux sociaux modifient l’équilibre de la « communication à papa » (sic) : le trio relations publiques – relations presse – publicité (dans tous ses états). Fini ! Le développement du « Social Network » de M. Zuckerberg ouvre un nouveau canal de communication directe. Le monde de la communication est, à jamais, changé.
LinkedIn, Facebook, donc, puis YouTube (2006), Twitter (2006 puis le X muskisé), WhatsApp (2009), Instagram (2010) et TikTok (2016) ouvrent la boîte de Pandore : l’audience devient accessible à portée de clics. Sans intermédiaire. Mieux encore. En parallèle, Steve Jobs conçoit le premier smartphone avec une pomme au dos. L’audience se tient alors à portée de doigts. Pouce.
Réfléchir à la stratégie de marque
La mise à l’index de « la-communication-d’avant » pousse un puissant complément élémentaire : smartphone + réseaux sociaux = temps infini de disponibilité. Et toc ! Les nouveaux enjeux de communication prennent une toute autre et toute vive allure. Les marques peuvent alors s’adresser directement aux paumes de nos mains. Astucieux. Encore faut-il avoir des choses à dire ? Et voilà comment intervient la fameuse stratégie digitale de contenus. Fameuse et accessible à presque tous.
De l’entrepreneur local à la multinationale cotée en Bourse, le Nasdaq et le CAC40 n’ont qu’à bien se tenir : les contenus sont dans la place. L’entreprise se réinvente autour d’un nouveau métier : l’édition de contenus de marque. Pour cela, rien de plus simple : déterminer l’identité de sa marque, définir les objectifs de communication autour de cibles à conquérir ou fidéliser (le tout en lien avec le marketing, le commercial et la production…). Jusque-là, c’est du connu. Du classique même. Une fois ces éléments déterminés, il « suffit » de transformer toutes ces réflexio…