La baisse de 28 % de la pollution de l’air, la plantation de 57 000 arbres, la création du plus grand secteur piétonnier continu de France (245 hectares selon les chiffres de la Ville), la chute de 18 % du trafic routier, l’allongement des pistes cyclables et la création de nouvelles lignes de bus express, ou encore l’installation de panneaux photovoltaïques pour atteindre 41 % d’autonomie énergétique d’ici à la fin du mandat, notamment via des ombrières sur le pont Simone Veil, ou encore la mise en place d’une brigade anti-incivilités et d’une nouvelle police municipale… Dans le cadre d’un projet urbain visant à « reconnecter la ville à son sol naturel », l’édile a annoncé le lancement d’une étude sur la « densification de la ville par surélévation », et affirmé son opposition résolue à un métro et au GPSO.
Sur le plan économique, se considérant comme « une entité facilitatrice », la Ville organisera en 2025 son premier forum « Bordeaux Terre de coopération » pour les entreprises locales. Regrettant « les contraintes très fortes pesant sur [son] budget », qui sera présenté le 28 janvier, Pierre Hurmic a annoncé une possible taxe sur le stationnement des véhicules lourds (SUV). « À force de multiplier nos réalisations par petites touches, dans une approche impressionniste, nous faisons un travail impressionnant », s’est-il félicité.